Cette série taïwanaise va vous bouleverser : Netflix dévoile son chef-d'œuvre le plus sombre
Publié le 24/10/2025
Novembre 2025 s'annonce particulièrement riche pour les amateurs de productions asiatiques. Netflix dévoilera le 13 novembre une nouvelle série taïwanaise ambitieuse qui promet de marquer les esprits. Si je n'avais vu le soleil arrive sur la plateforme avec une proposition narrative audacieuse, mêlant thriller psychologique et romance sombre dans un récit fragmenté en deux parties.
Cette production originale du studio Yi Nuo Films - déjà reconnu pour Someday or One Day - visite les territoires les plus obscurs de l'âme humaine. Nous analysons l'histoire de Li Renyao, interprété par Joseph Cheng-Hua Tseng, un homme de 25 ans qui se livre volontairement à la police pour confesser un meurtre commis durant sa scolarité. Surnommé le « tueur de l'orage » par les médias, ce personnage complexe accepte enfin de briser son silence face à Zhou Pinyu, documentariste incarnée par Jiang Qi.
Un casting d'exception pour une intrigue psychologique
La distribution rassemble plusieurs figures emblématiques du cinéma taïwanais contemporain. Li Mu endosse le rôle crucial de Jiang Xiaotong, mystérieuse lycéenne qui hante les souvenirs du protagoniste. L'actrice décrit son personnage comme « le soleil de cette histoire », symbole d'innocence et de lumière dans un univers progressivement englouti par les ténèbres.
L'équipe créative réunit des talents reconnus de l'industrie locale :
- Chiang Chih-cheng à la réalisation, fort de son expérience sur The Victims' Game
- Chien Chi-feng, scénariste primé aux Golden Bell Awards
- Ma Yi-ting étant productrice exécutive
- Une distribution élargie incluant Cheng Yu-hsi, Ma Chih-hsiang et Yao Chun-yao
| Information | Détail |
|---|---|
| Date de sortie | 13 novembre 2025 (partie 1) |
| Seconde partie | 11 décembre 2025 |
| Genre | Thriller psychologique, romance noire |
| Studio | Yi Nuo Films |
Une narration fragmentée entre réalité et obsession
L'intrigue se déploie autour d'un questionnement central : peut-on échapper aux fantômes de sa jeunesse ? Zhou Pinyu, en enquêtant sur ce crime passé, plonge progressivement dans un labyrinthe mental où se mélangent souvenirs authentiques et projections hallucinatoires. L'apparition récurrente de Xiaotong, figure éthérée en uniforme scolaire, transforme cette investigation en voyage introspectif troublant.
Cette série taïwanaise ambitieuse promet une expérience narrative immersive, structurée en deux volets complémentaires. Nous anticipons une œuvre dense, cherchant les méandres de la culpabilité adolescente avec la finesse caractéristique des productions contemporaines de l'île. Si je n'avais vu le soleil s'impose déjà comme l'une des propositions les plus intriguantes de cette fin d'année sur Netflix.